La qualité de l’eau, polluée par les nitrates, les métaux lourds et les microplastiques, est devenue « une crise invisible » qui touche pays riches comme pays pauvres, s’alarme la Banque mondiale dans un rapport publié mardi 20 août 2019.
« Cette mauvaise qualité de l’eau peut coûter jusqu’à un tiers de la croissance économique potentielle dans les régions les plus touchées, affirme l’institution de développement.
Son président, David Malpass, a appelé les gouvernements « à prendre des mesures urgentes pour s’attaquer à la pollution de l’eau afin que les pays puissent croître plus vite d’une façon plus durable et équitable ».
Pays riches comme pays pauvres subissent de hauts niveaux de pollution de l’eau, rappelle le rapport publié mardi, intitulé Qualité inconnue : « Il est clair que le statut de pays à haut revenu n’immunise pas contre des problèmes de qualité de l’eau. »
– Lire la suite de l’article de Virginie Montet - Agence France-Presse à Washington sur le site du quotidien Canadien Le Devoir, 21 août 2019 :