La Confédération paysanne de la Vienne a révélé le 4 mars dernier qu’un site d’essai de cultures d’OGM appartenant à la société Syngenta avait brutalement été inondé le 3 mars, provoquant un risque non négligeable de dissémination. L’actuel gouvernement français fomente de transcrire sous peu la directive européenne OGM en catimini, par voie de décret. Histoire de se soustraire à des poursuites de l’exécutif communautaire, et d’éviter tout débat au Parlement sur un sujet brûlant. Dans le même temps, entre 30 000 à 50 000 hectares de cultures d’OGM sont annoncées pour l’été prochain, notamment dans le Sud-ouest de la France, région qui va connaître une sécheresse annoncée comme dramatique. Eau, sécheresse et OGM préfigurent une dissémination sans précédent d’OGM en France l’été prochain.
Les parcelles d’essais OGM de la société Syngenta implantées à Valdivienne, dans la Vienne, aux lieux-dits « Chambon-Bas » et « Vallée de la Prunerie ». ont brutalement été inondées par les eaux de la Vienne le samedi 3 mars 2007.
Les services de l’Etat ont immédiatement assuré procéder à des études d’incidence, une expertise des sites d’essais et un suivi de ceux-ci pour contrôler les risques de dissémination.
« Comment maîtriser l’entraînement des tiges de maïs par le courant de l’eau dans ces parcelles, s’est immédiatement indignée la Confédération paysanne ? Comment assurer le confinement des résidus de récolte dans une parcelle d’essais dans le cours d’une rivière en crue ? ».
La Conf’ est d’autant plus furieuse qu’elle a attaqué en 2006 devant le Tribunal administratif de Poitiers les autorisations accordées à Syngenta, arguant du fait que la sûreté de ces sites n’avait fait l’objet d’aucune évaluation sérieuse, notamment vis-à-vis du risque d’inondation, pourtant parfaitement identifié, et cartographié, par les services de l’Etat !
Le jugement du Tribunal administratif de Poitiers n’est attendu que dans quelques mois, alors que l’expérimentation autorisée sera déjà achevée…
Et voilà que la Vienne noie les parcelles de Syngenta, au moment même où a été lancée une nouvelle consultation du public, aux fins d’autoriser une nouvelle rafale d’essais d’OGM à Valdivienne et Civaux dès 2007, prévus sur ces mêmes parcelles inondables…
Ca fait un peu désordre, surtout en Charentes-Poitou, laboratoire de l’excellence environnementale de Mme Ségolène Royal ! On souhaite bon courage aux responsables de l’enquête publique. Sur que les habitants de Civaux et de Valdivienne vont applaudir à deux mains les nouveaux semis, histoire d’agrémenter d’un peu de verdure leur charmant horizon, borné par la centrale nucléaire de Civaux…
50 000 hectares d’OGM à l’été 2007 ?
L’incident de Valdivienne préfigure le scénario catastrophe qui se dessine dans le Sud-ouest de la France pour l’été prochain.
Le grand Sud-ouest fait déjà figure de région sinistrée avec l’explosion de la culture du maïs irrigué qu’il enregistre depuis une dizaine d’années, et qui y provoque des tensions croissantes sur la gestion de la ressource en eau chaque été depuis 2003.
Pour l’été 2007 c’est déjà l’alerte rouge : la pluviométrie y accuse un déficit de 70% par rapport à la situation normale. Même si la région connaissait un déluge, et ça ne va pas être le cas, il ne suffirait pas à recharger les nappes phréatiques et à assurer un débit d’étiage correct d’ici à l’été prochain.
Plus la température va augmenter à mesure que nous nous rapprochons de l’été, et plus la pluie, d’une part va littéralement s’évaporer dans l’atmosphère avant même d’avoir touché le sol, d’autre part va immédiatement être « aspirée » par les végétaux, assoiffés, en pleine croissance.
Résultat, alors que dès juin, et jusqu’en aout, nos amis producteurs de maïs prélèvent 80% de la ressource en eau disponible, puisque c’est précisément en été, quand il y a le moins d’eau, que le maïs a soif, cette année, pour l’été 2007, ça risque d’être encore pire que ça ne l’a été depuis 2003. Ca promet.
Et comme si ça ne suffisait pas, cette année, de surcroît, nombre de nos maïsiculteurs vont faire le grand saut, quasi clandestin, dans les OGM !
Clandestin ? Bon, le marché c’est l’Espagne, juste à côté, qui devrait normalement acheter une bonne part de la récolte espérée.
Clandestin ? Début mars la France n’a toujours pas transcrit la Directive OGM. Et les faucheurs sont désormais réputés pouvoir fondre sur la moindre parcelle d’OGM qu’ils parviennent à identifier.
Reste que l’appât du gain bouscule tout. Des centaines d’agriculteurs du Sud-Ouest vont faire le grand saut cet été. Inquiets, mais déterminés.
20 000, 30 000, voire 50 000 hectares de cultures OGM semblent en passe d’être semés en France avant l’été prochain, en dépit de l’appel au moratoire lancé fin février par toutes les associations et ONG, mobilisées pour éviter un scénario "à la brésilienne". Soit des semis massifs, multipliés par 5 ou 10 par rapport à déjà ceux effectués en 2006, ce qui rendrait la dissémination irréversible.
Or, une bonne partie de ces semis vont être effectués dans le grand Sud-ouest, la région la plus menacée, avec les Charentes, par la sécheresse qui s’annonce. Une bombe.
Des OGM sous la sécheresse
Déjà en temps normal, l’été dernier, tiens je vous raconte. Ca fait des années que la ministre de l’Ecologie, Mme Olin, a pris le mors aux dents. Un plan sécheresse, un comité sécheresse. Des restrictions. Pernaut qui compresse notre temps de cerveau disponible avec 15 sujets « sécheresse » pendant la période estivale…
Bon, l’été 2006, quelque part au bord d’un champ, la nuit, dans le grand Sud-Ouest. Trois rampes métalliques gigantesques qui arrosent, arrosent, arrosent. Tant et si bien qu’au bord du champ le fossé déborde… Notre précieuse eau, rare et chère, à force, même s’il fait dix-sept degrés à une heure du matin finit par s’infiltrer dans le sol.
Pas de raison qu’il en soit autrement à l’été 2007. Sauf que maintenant c’est du maïs OGM qui va être arrosé. Et alors ?
Jusqu’ici, les scientifiques ont surtout évoqué la propagation des OGM par la
pollinisation. Les gentilles abeilles, du moins les miraculées qui ont échappé au Gaucho et au Régent, qui butinent d’arbre en arbre et de fleur en fleur, et déposent le pollen miraculeux dans le pistil qui n’attend qu’elles.
Or, ce n’est pas le seul chemin possible. Quand la plante transgénique est fauchée, des débris peuvent persister sur le sol. Quand ils se dégradent, avec l’arrivée de la première pluie, ils peuvent, soit ruisseler à la surface de la terre, soit s’infiltrer.
Dans ce cas-là, on ne s’intéresse plus aux débris de plantes entières mais à l’ADN, c’est-à-dire à la partie génétique de l’organisme.
Bon, ici, dans notre grand Sud-ouest, l’été prochain, faute de pluie en plein été, on aura donc les rampes infernales de nos amis les irrigants. Le résultat sera identique, les résidus de nos plantes transgéniques, et donc leur ADN, vont s’infiltrer dans le sol.
Quand ce relâchement d’ADN intervient, le mécanisme de transport est similaire à celui d’autres composants. Si une séquence de gène modifiée rencontre une bactérie capable d’intégrer l’ADN – comme l’acinetobactérie - , cette bactérie sera naturellement transformée. La séquence d’ADN va alors s’exprimer en elle.
Quant au passage de l’ADN de la bactérie à celui de la plante, les scientifiques s’empoignent toujours sur le fait de savoir si le gène modifié, inséré dans la bactérie, peut ou non, s’intégrer dans la plante.
Mais ce qui est sûr c’est que la bactérie intègre le cycle naturel, et que les autres organismes la consomment.
Le gène - par exemple un gène de résistance à un antibiotique - sera alors repris par un autre vecteur, tel que l’eau ou l’être humain. La modification introduite va ainsi se propager plus loin et concerner tout le cycle naturel, voire la chaîne alimentaire.
Des expériences conduites en Suisse en 2004 ont en effet établi qu’un gène biologiquement actif peut être transporté sur de longues distances dans un milieu saturé en eau.
Les chercheurs ont effectué des essais en laboratoire avec de l’ADN transgénique introduit dans une colonne de terre. Pour observer le passage de la matière génétique, ils ont considéré la colonne de sol comme un milieu poreux saturé ou non saturé.
Dans les deux cas, les gènes transformés ont pu être détectés à la sortie de la colonne.
Ils se sont ensuite demandé comment le processus pouvait être expérimenté dans la nature.
Et ont conduit une nouvelle expérience. Non pas en observant des plantes génétiquement modifiées en plein champ, mais des plantes ordinaires dans des surfaces cultivées.
L’expérience a été effectuée dans la région de la Champagne genevoise. Il s’agissait d’abord de comprendre ce qui pouvait se passer avec l’ADN des plantes non transgéniques qui s’infiltraient jusqu’à la nappe phréatique.
Pour ce faire, l’équipe de chercheurs suisses a procédé à l’extraction de l’ADN à différentes profondeurs. Ils ont constaté que les plantes cultivées à la surface relâchaient leur ADN, et que ce dernier pouvait se retrouver jusque dans les nappes phréatiques et finir par couler dans les fontaines…
Dans leurs échantillons d’eau, ils ont ainsi détecté du blé, du colza, de la vigne et des mauvaises herbes.
Il est vrai que la décomposition de l’ADN est souvent moins rapide quand ce dernier est lié aux particules du sol qui le protègent contre la dégradation microbienne. Il est donc logique que l’ADN ressorte dans l’eau.
D’autres expériences conduites par la même équipe avec du tabac transgénique ont démontré que le gène de résistance aux antibiotiques (streptomycine et spectinomycine) est détectable jusqu’à quatre ans après l’enfouissement des fragments de feuilles dans le sol. Cet ADN demeurant biologiquement actif après son absorption par des particules du sol qui le protègent.
En fait l’ADN aura une durée de vie plus ou moins longue selon la nature du sol.
On considère en outre aujourd’hui que l’on peut raisonnablement considérer que le relâchement et le transport d’une plante OGM sont à 99% semblables à ceux d’un végétal non OGM.
Amis de la nature, de l’environnement et de toutes ces sortes de choses, vous voilà prévenus. Sécheresse historique dans le grand Sud-ouest l’été prochain, 30 000 à 50 000 hectares d’OGM à l’arrache, et à la barbe des faucheurs, heureusement que Jacques Chirac espère présider la future ONU de l’environnement, sinon on alerterait Nicolas Hulot.
Nous vivons une époque épique.
Notre affaire apparaît d’autant plus inquiétante que le mardi 17 mars Mme Corinne Lepage, présidente du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique), devait annoncer lors d’une conférence de presse, en présence du Professeur Gilles-Eric Seralini, des docteurs Dominique Cellier et Joël Spiroux de Vendomois, du Conseil Scientifique du CRIIGEN (www.criigen.org), les conclusions d’une étude des risques sur la santé d’un maïs transgénique autorisé à la consommation qui montrerait des signes de toxicité hépatique et rénale. Un maïs autorisé serait donc impropre à la consommation…
Un coup de force "à la brésilienne"
Suites du navrant feuilleton, un mois après la mise en ligne de cet article.
Le quotidien Sud-Ouest relatait dans son édition gerseoise du 4 avril 2007 que la tension montait dans ce département à l’approche des semis de printemps.
Les producteurs biologiques du Gers sont en effet montés au créneau dans tout le Sud-Ouest le 3 avril 2007. Audience du tribunal à Bordeaux et conférence de presse à Auch, ils ont eu une large tribune pour s’exprimer.
En même temps que le tribunal de Bordeaux statuait sur la légitimité du Conseil général du Gers à organiser un référendum, le groupement des producteurs biologiques du Gers (Gabb 32) tenait à « alerter de la gravité de la situation sur les conséquences économiques pour le département ». Affirmant que de nouvelles plantations d’OGM seraient en train de se multiplier dans le Gers.
La cour d’appel du tribunal administratif de Bordeaux jugeait en effet le 3 avril l’appel du Conseil général du Gers face à l’interdiction prononcée par le tribunal administratif de Pau d’organiser un référendum local sur les OGM.
« Les conclusions du commissaire du gouvernement ne laissent aucun espoir aux 16 312 pétitionnaires (12,5 % du corps électoral gersois) qui avaient soutenu cette initiative citoyenne », soulignait le président du Conseil général.
Philippe Martin ne ratait pas l’occasion de replacer le débat dans le contexte de l’élection présidentielle : « En menant une véritable guérilla juridique contre une collectivité locale coupable d’avoir cru que « décentraliser » rimait encore avec « liberté », en réclamant l’interdiction du référendum gersois, le Gouvernement a choisi de mettre un terme à un débat dont notre Pays ne pourra s’exonérer, sauf à bafouer les principes mêmes de la Charte de l’environnement inscrits dans notre Constitution, et en particulier le principe de précaution. »
Pour Christian Ponticelli, président du Gabb 32, « le risque est de pourrir l’économie globale du Gers. Que deviendra le département si la situation de l’agriculture empire ? Les conséquences se feront sentir sur le tourisme puisque l’image du Gers repose aussi sur la qualité de vie, la qualité saine des cultures et la gastronomie traditionnelle ».
C’est donc la filière agricole traditionnelle et de qualité certifiée (l’agriculture biologique) que le Gabb 32 veut défendre.
Il accuse le gouvernement de faire de la propagande : « Le 20 mars dernier, le gouvernement a publié trois décrets et deux arrêtés sur les OGM. Le communiqué de presse affirme des choses qui ne sont pas dans les textes. Ce n’est pas de l’information mais de la pure communication ».
Une affirmation du ministère de l’Agriculture fait bondir Christian Ponticelli :
« Les agriculteurs qui cultiveront, en 2007, des maïs OGM s’engageront à informer les cultivateurs des parcelles voisines et à respecter une distance d’isolement de 50 mètres ».
Pour le représentant des bios gersois « cela ne figure pas dans la loi ».
Comment alors protéger les cultures biologiques lorsqu’elle se trouvent à côté d’une parcelle OGM ?
« Nous n’avons aucun moyen de nous protéger... à moins d’interdire le vent ! », ironise l’agricultrice bio, Sylvie Colas. Le maïs bio qu’elle produit pour nourrir sa volaille se trouvera l’année prochaine à quelques mètres de cultures OGM.
« J’ai rencontré mon voisin. Nous avons commencé à dialoguer. Je pense que nous manquons d’informations objectives sur la législation et les risques. Cette carence conduit à l’affrontement entre « bio » et « OGM ». Or, nous devons tous lutter contre cette tendance car nous travaillons sur la même terre ».
L’agricultrice est en colère car ce sont les agriculteurs biologiques qui doivent payer les analyses pour certifier que leur production est sans OGM (ou avec au maximum 0,9 % d’OGM).
« Je sais ce que je plante, je devrais savoir ce que je récolte, sans être obligée de faire des analyses pour être sûre ».
Quant aux certifications des labels, cela fait sourire jaune le président de l’UFC-Que choisir.
Jean-Claude Fitère déplore que « certains organismes certificateurs ne trouvent pas d’OGM dans les produits qu’ils analysent... car ils ne les cherchent pas. C’est dommage pour un département comme le Gers, qui va accueillir le Palmipôle. D’ores et déjà, je commence à avoir des craintes pour l’avenir et la crédibilité des labels ».
Le Gabb 32 va donc tenter de « raisonner » les agriculteurs tentés de semer des OGM. « Nous avions le choix entre les convaincre (mais cela ne semble pas le cas), la voie judiciaire (mais ce n’est pas souhaitable pour tout le monde) alors nous allons essayer de mettre tout le monde autour de la table ».
Juillet 2007 : la carte du maïs transgénique en France
Dans son édition du 6 juillet 2007, le Figaro confirmait que les cultures de maïs OGM sont concentrées dans le sud-ouest de l’Hexagone, en se basant sur les données du registre national des cultures OGM, rendues publiques le 4 juillet sur le site, conformément aux obligations découlant d’un arrêté de mars 2007.
Au total, selon le registre, la surface de maïs transgénique cultivée en France en 2007 s’établirait à 19815 hectares. Il s’agit du maïs « MON 810 », produit du semencier Monsanto et seule semence OGM à vocation commerciale autorisée à l’heure actuelle en France. La céréale transgénique est donc cultivée sur 2936 parcelles à travers le pays.
On pouvait ainsi y découvrir que deux cantons français accueillent plus de 1000 hectares de MON 810. A Muret, en Haute-Garonne, on dénombre 1414 hectares de maïs sur une surface totale de 16 769 ha, soit 8.4% de la surface du canton.
Greenpeace, fermement opposée aux OGM, réagissait dès le 5 juillet en mettant en ligne une carte révélatrice. (Voir ci-après).
Les cultures OGM apparaissent clairement concentrées dans un quart sud-ouest de la France.
Mais les données du registre national ne concernent que 13 régions et ne synthétisent que les déclarations spontanées des agriculteurs… Même si celles-ci sont obligatoires il n’est donc pas impossible que certains producteurs du nord ou de l’ouest ne se soient pas conformés à la règle de mars 2007.
Reste que la tendance de la concentration dans le sud-ouest est réelle, et s’explique par le fait que les producteurs vendent leur maïs OGM en Espagne.
Le ministère de l’Agriculture signalait par ailleurs qu’une carte cliquable est en chantier depuis plusieurs semaines, et que la mise en valeur des chiffres par Greenpeace ne tient qu’à la rapidité de l’ONG.
Au niveau national, les quelque 20.000 hectares de maïs OGM sont à mettre en rapport avec les 3 millions d’hectares de maïs non-transgénique, réparti pour moitié entre le maïs en sillage (destiné au fourrage du bétail) et le maïs grain.
Mais le maïs OGM semble en passe de décoller. Cette culture occupait environ 3.000 hectares en 2005, et 5.000 en 2006. Une progression qui s’explique par le bon prix que les producteurs retirent du MON 810. Outre les économies en insecticide, ils parviennent souvent à vendre leur produit au-delà du cours du maïs non-OGM.
Sources :
– Comité national sécheresse, MEDD, 1er mars 2007.
– Comité de bassin Adour-Garonne.
– « Devenir de l’ADN d’origine végétale dans les comportements environnementaux », John Poté, Thèse de doctorat es sciences. Institut F.-A. Forel, Section des sciences de la terre. Faculté des sciences Université de Genève. 2005. La recherche a été réalisée en collaboration avec le Laboratoire de microbiologie de l’Université de Lyon (P. Simonet et T. Vogel) et avec l’antenne romande du WSL (W. Rosselli).
– Sud-Ouest, édition du Gers, 4 avril 2007.
– La carte du maïs transgénique en France, Le Figaro, 7 juillet 2007.
commentaires
Vos previsions meteo pour l’ete 2007 sont aussi exactes que vos commentaires sur les OGM !
Essayez encore, sans a priori cette fois . . .
M. Kuntz
Les OGM, l’environnement et la santé (Editions Ellipses)
Grâce aux maïssiculteurs du Gers, je n’achèterai pas de foie gras pour Noël ( ni après ) s’il n’est pas étiqueté AB !!.
Quand la révolution aura commencé, on sait à qui il faudra couper la tête… aux épis de maïs OGM ;-)