Le Conseil général du Finistère revendique et affiche une forte mobilisation dans le domaine de l’ANC. Il s’est fixé pour objectifs d’éclairer les particuliers sur les bonnes pratiques en matière d’assainissement non collectif et de guider les collectivités dans leurs choix. La démarche se traduit notamment par la rédaction de guides pratiques. Et désormais par une Charte qui s’inscrit dans les objectifs de l’Agenda 21 départemental. L’exemple ne devrait pas manquer d’intéresser les usagers d’autres régions qui ne disposent pas d’une information aussi claire.
Dans le Finistère, près de 150 000 foyers sont équipés d’un assainissement non collectif. Depuis 2005, 95 services publics d’assainissement non collectifs (Spanc) ont été créés à travers le département pour vérifier l’état de tous ces équipements.
Apparemment, 15 % des installations seraient défectueuses, donc susceptibles de polluer.
En 2006, le conseil général a souhaité apporter une aide technique aux Spanc en initiant un projet de charte départemental s’inscrivant dans les objectifs de l’Agenda 21.
Cette Charte a été signée avec différents partenaires (installateurs, architectes, notaires, associations de protection de l’environnement...) et instaure, par exemple, la localisation de toute nouvelle construction, l’étude des sols, la signalisation des anomalies...
Le conseil général gérera, lui, un observatoire départemental de l’assainissement non collectif.
Autre domaine sur lequel le département souhaite prendre un peu la main, les choix des investissements des collectivités en matière d’assainissement collectif ou d’alimentation en eau potable.
A compter du 1er novembre 2008, il conditionnera ses aides (48 M€ ces huit dernières années) aux projets choisis.
« Les priorités seront évidemment la protection des ressources et une eau de meilleure qualité, explique Mme Chantal Simon-Guillou, vice-présidente. Jusqu’à présent, il n’y avait pas vraiment de cohérence sur la gestion de ces travaux dans le Finistère. Les maîtres d’oeuvre souhaitaient une règle du jeu ».
Voir aussi la rubrique eau et assainissement du CG 29 :
– Guide technique pour l’ANC.
– Dossier de conception d’un ANC.
Le dossier de l’ANC
Assainissement non collectif (1) : les usagers vont trinquer, 4 mai 2007 :
Assainissement non collectif (2) : les difficultés commencent, 4 juin 2007 :
Assainissement non collectif (3) : Point de vue du Syndicat de l’ANC des Vosges, 12 juin 2007 :
Assainissement non collectif (4) : le grand bazar, 10 juillet 2007 :
Assainissement non collectif (5) : les arrêtés d’application de la LEMA, 26 septembre 2007
Assainissement non collectif (6) : les micro-stations d’épuration, 23 octobre 2007
Assainissement non collectif (8) : comment réduire la facture ?, 8 novembre 2007
Assainissement non collectif (9) : recherches tous azimuts, 16 novembre 2007
Assainissement non collectif (10) : comment financer les SPANC ?, 23 novembre 2007
Assainissement non collectif (12) : les usagers continuent à trinquer…, 4 janvier 2008
Assainissement non collectif (13) : zonage, raccordement et permis de construire… 7 janvier 2008
Assainissement non collectif (14) : Les toilettes sèches au tribunal ! 9 janvier 2008
Procès des toilettes sèches à Brest : audience reportée
Les eaux glacées du calcul égoïste, 23 janvier 2008.
Assainissement non collectif (18) : le sondage !
Les eaux glacées du calcul égoïste, 20 février 2008.
Assainissement non collectif (19) : les aides promises aux particuliers de plus en plus incertaines…
Les eaux glacées du calcul égoïste, 22 février 2008.
Assainissement non collectif (20) : le projet d’arrêté déclenche un tollé dans les Spanc
Les eaux glacées du calcul égoïste, 22 février 2008.
Assainissement non collectif (21) : polémique sur les micro-stations d’épuration
Les eaux glacées du calcul égoïste, 3 avril 2008.
Assainissement non collectif ( 22 ) : Informations, sites, blogs...
Les eaux glacées du calcul égoïste, 21 avril 2008.
Assainissement non collectif (23) : le blues de l’usager
Les eaux glacées du calcul égoïste, 16 mai 2008.
Assainissement non collectif (24) : les projets d’arrêtés
Les eaux glacées du calcul égoïste, 18 mai 2008.
Assainissement non collectif (25) : le Finistère adopte une Charte de l’ANC
Les eaux glacées du calcul égoïste, 18 mai 2008.
commentaires
Il me semble quand même avoir vu dans les signataires de la charte UFC que choisir, Eau et Rivieres... mais ils ne sont peut-être pas représentatifs pour vous.
signataires charte
Le plombier biologique
La Technicité de ce nouveau métier est en rapport direct avec un élément vital pour l’homme : L’eau
Son rôle est de nous aider à comprendre et à préserver l’environnement par des actions simples et pérennes, qui le différencient du plombier classique et des sociétés d’assainissement, et par l’utilisation de produits d’entretien ménager biologiques :
A) Nettoyage écologique des installations par un traitement biologique des colonnes d’eaux usées
B) Utilisation du liquéfiant biologique, de l’anti-odeur biologique, du déboucheur biologique
C) Traitement des graisses
D) Furet mécanique
Pour une :
E) Amélioration de l’environnement
F) Protection de l’écosystème
G) Dépollution atmosphérique
L’eau consommée quotidiennement pour notre bien-être dans notre habitat, devient de l’eau usée que l’on rejette dans des siphons et des canalisations (sous différents aspects selon son utilisation première : bain, cuisine, toilettes…).
L’ensemble (siphons, canalisations d’eaux usées ainsi que la station d’épuration) constitue l’assainissement CHARGEE d’épurer cette eau avant son rejet dans la nature.
Cette eau « sale » est constituée d’impuretés, de micro-organismes vivants ainsi que d’oxygène et d’eau, de la matière organique, de la matière minérale et une grande quantité de bactéries utiles.
Pourquoi CE NOUVEAU METIER ?
La destruction de la Biologie dans l’assainissement des eaux usées se répercute négativement sur notre environnement. Le plombier biologique, à son niveau, inverse à chacune de ses actions cette destruction. Il devient un précurseur en la matière.
A) Premier miracle de la VIE
Cette eau va entamer un cycle de purification avant de revenir vers nous
B) Deuxième miracle de la VIE
Notre flore intestinale génère tous les jours un éco système de biodégradation de la Matière Organique. Ce dernier va régénérer l’éco système interne des canalisations d’eaux usées.
Je l’appelle La Biologie d’Assainissement
Cette flore intestinale contient des bactéries de biodégradation de la Matière Organique que j’appelle « Bactérie utile »
Je l’appelle L’Assainissement Biologique
La BIOTECHNOLOGIE, mise en application dans l’exercice de notre nouveau Métier. Le plombier biologique
Une bactérie utile est un être vivant microscopique mesurant entre 2 et 20 microns. Cette bactérie a une durée de vie de 6 jours environ.
En milieu biologique, ces bactéries UTILES vont réduire la matière organique.
Le rôle du Plombier Biologique sera de préserver, lors de ces interventions, la vie dans l’Assainissement ou d’en recréer une en cas de destruction.
Par une Information sur « la biologie attitude »,
(C’est un engagement personnel qui permet à la personne interpelée de s’engager dans le développement durable, voir une prise de conscience pour la protection de la nature et une autre façon d’agir dans sa vie quotidienne)
Par l’injection de bactéries (s’il faut recréer le milieu),
Par l’utilisation de produits d’entretien ménager Biologiques,
(Moins chers, plus efficaces, pérennes dans le temps)
Le Plombier Biologique permet la destruction de nos déchets de manière entièrement naturelle et écologique.
L’utilisation des produits chimiques occasionne un dysfonctionnement dans l’Assainissement des effluents d’eaux usées.
L’utilisation de ces produits détruit les bactéries utiles les empêchant d’effectuer leur travail.
Pour info :
L’Assainissement des eaux usées dans sa généralité a subi une conversion :
Sur le réseau urbain par l’entrée en force du chimique dans les produits d’entretien ménager.
En ANC par la modification des fosses septiques en « fosse réservoir ».
Conclusion : Les effluents ne sont plus septiques (ne contiennent plus ou peu de bactérie de biodégradation).
La conséquence ! Une forte augmentation des résidus de boues, une hausse du coût de traitement pour les éliminer.
La boue est retenue par des filtres avant d’être séchée.
L’eau épurée est envoyée dans la mer ou dans les rivières.
En fin de traitement des eaux usées sur un réseau collectif,
Cette boue, il nous faut l’éliminer par un moyen ou un autre.
Mais il est impossible de s’en servir d’une façon biologique
(Genre compost) car malheureusement elle est totalement polluée.
En effet, ces résidus de boue, contiennent :
55% de matière organique
20% de graisse non biodégradable
15% de molécules chimiques non biodégradables
10% de bactéries mortes non biodégradables car Seule une bactérie vivante détruit une bactérie morte, et dans le même temps, se recharge de son « énergie vitale ».
Sur le réseau des agglomérations l’épuration génère
12 grammes de résidus de boue sèche par jour et par personne.
Dans le cas d’une action biologique, que ce soit avec la Biologie Attitude ou par l’utilisation de produits d’entretien biologique, on obtient :
6 grammes par jour et par personne !
Dans le cas des fosses BIOLOGIQUES du site de LyseConcept
0,20 Grammes par jour et par personne !
Réflexion
A- La règlementation en vigueur à ce jour pour la Restauration oblige cette dernière à installer sur son réseau d’eaux usées de cuisine UN BAC à Graisse.
Son office : piéger les graisses afin qu’elles n’aillent pas dans le réseau.
Ces graisses sont non traitées donc elles s’accumulent et une fois par mois une société d’assainissement vient pomper cette masse graisseuse.
Qu’en fait elle ?
Elle la reverse dans le réseau, dans la rue devant le restaurant !
Avec notre traitement Biologique des Graisses, la graisse est dissoute en Trois jours et le TOUT peut être envoyé pour une finition de traitement Biologique.
B- Les canalisations des zones urbaines se bouchent de plus en plus. Les sociétés, de « pompage curage », travaillent sur ces secteurs 7/7 jours et 365 jours par An. Ces sociétés d’assainissement de nettoyage par haute pression ont été multipliées par 9 sur les grosses agglomérations.
4 millions de M 3 d’eau par jour sont utilisés pour effectuer ce travail que ce soit sur le réseau ou en ANC sur toute la France. Toute cette eau serait économisée avec le PROCÉDÉ de l’assainissement biologique
C- En A.N.C (Assainissement Non Collectif), les fosses dites « Fosse septique » fonctionnent suivant une Alchimie biologique qui se met en place au bout d’un Certain temps en tenant compte de paramètres.
– L’éco système individuel de chacun des utilisateurs (le nombre et l’âge)
– Le mode de vie de l’habitat (beaucoup ou peu de repas cuisiné, utilisation de produits + ou – chimiques d’entretien ménager)
– La santé physique du moment (malade sous antibiotiques).
Chaque utilisateur va envoyer son propre « Eco système » biologique, le tout s’équilibrant dans l’éco système général. Il faut 8 à 10 mois pour mettre en place ce dispositif ; Durant tout ce temps, les eaux usées ne sont épurées qu’en partie. Chaque fois que l’on vidange une fosse, on provoque UNE catastrophe :
1 - Destruction de la fonction de Biodégradation du système
2 - Pollution limitée de la nature sur le rejet d’eau, TRES grave si le système ne redémarre pas. Pollution atmosphérique.
3 - Augmentation du coût de traitement des eaux usées de la station d’épuration recevant le pompage, augmentation des résidus de boue sèche.
Notre slogan :
Protégeons aujourd’hui
ce que l’on nous a confié hier
pour mieux le restituer demain
le plombier biologique quelle arnaque !!
Vous pouvez dissoudre les graisses, ça c’est déjà connu depuis longtemps comme technique, et elles vont se reformer ou ??
plus loin !
Quelle solution magnifique..
Et vous faîtes aussi disparaitre la pollution par magie...
Mais vraiment vous êtes trop forts..
Elle fait jolie la charte. On a seulement oublié un maillon essentiel c’est l’usager.Mais on ne va pas demander à un pigeon de signer la charte pour se faire plumer.
Elle est quand même signée par l’association des maires du Finistère. Ces même maires qui ont transféré la responsabilité de l’anc pour ne pas avoir à "s’em... avec ça" pour reprendre les termes du maire de ma commune du Finistère.
Il faut donc que les associations fassent la promotion d’une charte qui se base sur une réglementation rétro-active, Nan trugarez !!!