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LES EAUX GLACÉES DU CALCUL ÉGOÏSTE
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Comment gérer les rivières et les zones humides ?
par Marc Laimé, 5 octobre 2009

DCE oblige, la restauration des cours d’eau et des zones humides et leur préservation devient une préoccupation forte de tous les acteurs impliqués dans des actions qu’il s’avère de plus en plus complexe à mettre en œuvre. Une journée nationale d’échanges techniques organisée à Paris le 17 novembre prochain en témoignera. Dans le même temps des interrogations se font jour sur la manière dont le Code de l’environnement définit les compétences qui peuvent s’exercer en la matière. Une initiative, encore passée inaperçue, suggère même de réécrire complètement le Code de l’environnement afin de faciliter la mise en œuvre d’actions efficaces…

Afin d’échanger sur les expériences de terrain, les contraintes ou difficultés rencontrées, mais aussi des bonnes pratiques et méthodologies opérationnelles, l’Onema organise le 17 novembre prochain à Paris (Espace Saint-Martin) un colloque en partenariat avec les Agences de l’eau, le Ministère en charge de l’écologie et l’OIEau, titré : « Agir ensemble pour les rivières et les zones humides : témoignages d’acteurs ».

Du diagnostic des besoins jusqu’à la mise en œuvre pratique d’actions, les initiatives de préservation ou de restaurations de rivières et de zones humides se multiplient. Elles mobilisent des acteurs nombreux selon des modalités variées : organisation de la concertation, prise de décisions, financement, conventions, acquisition de terrain. Une bonne coopération entre ces acteurs impliqués est une condition essentielle de la réussite de tout projet entrepris.

Voir le programme de la journée

Rivières : faut-il refondre le Code de l’environnement ?

Coïncidence, le Réseau régional des gestionnaires de milieux aquatiques Provence Alpes Côte d’Azur, suggère pour sa part dans une note décapante rien moins qu’une refonte radicale du Code de l’environnement afin de promouvoir une dénomination commune aux syndicats de rivière.

Une réflexion qui prend tout son sens dans le contexte de débat houleux suscité par la refonte du « mille-feuilles territorial »…

Pourquoi l’inscription d’une dénomination commune aux syndicats de rivière dans le Code de l’environnement ?

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